Avant de prendre mon bus pour Sydney, je me suis rendue sur l'une des plages où, chaque soir, les pingoins se retrouvent avant de se diriger vers leurs nids respectifs. Et là : surprise ! les lieux sont très surveillés (pourquoi pas , je comprends) mais les droits d'entrée s'élèvent à l'équivalent de 42 € ! c'est peut pour réduire le nombre de visites "humaines", mais tout de même, "ils" en profittent bien !
La lente progression de ces centaines de petits pingoins claudicants est ravissante, émouvante, attendrissante...
malgré tout, la magie qui aurait dû en émaner à été rendue impossible à cause de tous ces imbéciles d'humains, bavards, rigolards, incapables de quelques instants de silence et de respect devant ce spectacle que nous offrait la Nature. on comprendra que je sois allergique à tout circuit oraganisé et tout rassemblement humain !
Au sujet de mon trajet en bus de Merlbourne à Sydney, à part mes histoires de côtes fêlées, mon installationdans le véhicule n'avait pas été de tout repos ! le chauffeur, d'abord, m'impose une place sans me laisser choisr alors que le bus estvide.Heureusement, il m'attibue un "côté fenêtre", donc, je m'installe sans rechigner...
Là où les choses se gâtent, c'est que, alors que le bus est toujouts très peu rempli, il fait asseoir à mes côtés une personne réellement obèse comme il y a beaucoup en Australie. Sur le coup je ne fais pas de commentaires par égard envers la personne, une jeune femme. Il faut bien qu'elle s'assoie, la pauvre ! Le bus démarre...il y a toujours très peu de monde, de nombreux sièges, et même double sièges sont libres...pendant ce temps, je suis tellement coincée par les chairs de cette énome femme, que je peux difficilement dégager mes bras pour prendre des photos derrière ma vitre !
La nuit est tombée, j'ai beaucoup de difficultés pour atteindre mon sac à dos posé à mes pieds. Je suis mal mais la fille à mes côtés n'est pas à l'aise non plus ! alors qu'il y a tant de places libres ! je commence à ménerver intérieurement mais demande très gentiment à la jeune fille si elle verrait un inconvénient à demander au chauffeur la permission de changer de place. Elle acquièsce etva voir notre conducteur. Cet imbécile refuse en prétextant qu'il va y avoir du monde plus tard...Elle revient, un peu mal à l'aise, la pauvre. Je suis furieuse. Cette grosse fille est bien gentille mais elle m'étouffe au sens propre du terme. je me ève à mon tour, prends mes affaires, et, sans rien demander à cet abrtti de dictateur (il a d'ailleurs une silhouette de petit sergent : petit, maigre et la boule à zéro), je m'allonge carrément sur les 2 sièges vaccants qui se trouvaient devant nous.J'ai pu dormir tranquillement jusqu'au lendemain ! Quand, dans la matinée, les gens ont commencer à remplir le bus, je suis tranquillement retournée à ma place en croisant le gentil sourire de ma voisine, pas rancunière.
Quel abruti, mais quel abruti ce bonhomme !
Je ferme cette parenthèse. Je suis donc à Sydney qui ne fait pas exception quant à la beauté de son site et de ses baies. J'ai visité, exploré de long en large pendant ces quelques jours et je commence déjà à m'éloigner de ces beaux panoramas pour jeter mes regards vers les nouveaux horizons de mon programme : Tahiti puis l'île de Pâques et ses mystères...
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A SUIVRE...
